L’industrie de l’automobile produit des déchets très importants pour la destruction de l’environnement. Toutefois, elle fournit des efforts dans le but de réduire dans la mesure du possible cette lourde production. Ainsi, pour protéger l’environnement, il est nécessaire de commencer à traiter les différents matériaux de pollution de la nature issue de cette industrie. Dans l’ensemble de ces outils de voiture, les éléments qui sont faits en matière élastique ou en caoutchouc sont les plus dangereux dès lors qu’ils sont exposés à l’air libre. Ainsi, parmi les compositions de cette nature que l’on peut retrouver sur une voiture, il y a les roues. Celles-ci ont une durée de vie très limitée et doivent constamment être débarrassées de la voiture. Certaines entreprises ont estimé utiles de revaloriser ces pneus usagés afin de ne pas retrouver autant des déchets dans la nature.  La région de Montréal va accueillir une usine de revalorisation de ces roues par la technique de granulation. Parmi les multitudes des procédures qui existent pour la valorisation des roues, ce n’est pas par un choix gratuit que cette ville porte son investissement sur la méthode de granulation. Il y a certainement des avantages énormes sur l’usage de cette technique. Mais avant de les énumérer, il est important de mentionner les différentes étapes de la granulation des pneus usagés. Cette technique se réalise à travers une industrie lourde, car plusieurs machines et autres appareils doivent être installés afin d’obtenir un résultat efficace.

La première étape du recyclage par la technique de granulation consiste au broyage de la roue. Cette phase est primordiale dans la mesure où la roue est composée de plusieurs substances et qu’il faudrait nécessairement les séparer afin de garder les parties qui peuvent être revalorisées. Cette opération de broyage fera apparaître quatre sortes des fractions distinctes. Une fraction de l’acier sera séparée de la fraction composée de caoutchouc. Le fer et le plastique doivent être distingués dans le but de savoir dans quelle condition la roue peut être granulée. Les différentes fractions permettent de ressortir des poudrettes pouvant recevoir des formes nouvelles avec des particules garantissant la solidité et la réutilisation des pneus usagés revalorisés en toute sécurité. La manipulation de quelques machines offre des résultats satisfaisants. Ces machines qui concourent à cette opération sont réglées de façon élargie ou restreinte selon les débits ou les obligations que pourront imposées les nouvelles roues en fonction du degré d’usure.

La revalorisation par la granulation offre des avantages remarquables aux investisseurs montréalais. D’ailleurs, d’autres régions du Canada et même le reste du monde pourra emprunter avec intérêt cet exemple montréalais. Presque toutes les méthodes de revalorisation des pneus usagés sont coûteuses et demandent des investissements solides. La granulation quant à elle est une technique qui permet d’avoir les mêmes résultats en termes de revalorisation, mais son investissement est le moins coûteux. Cette réduction du taux s’observe à travers le nombre de machine beaucoup plus réduit pour le travail. Quatre types d’installation suffiront à réaliser cette opération. Une machine servant à cisailler les roues pour un découpage total des différentes parties. Une autre machine servant à plâtrier la roue. Il est ici question de la compresser afin d’obtenir le produit principal à traiter. Une autre machine servira à distinguer les fibres qui composent les différentes parties. Une dernière machine sera disposée à faire les opérations de nettoyage. L’examen de ces appareils montre la faiblesse du coût d’investissement pour la granulation. Comparativement à la méthode de cryogène, les dépenses sont énormes et nécessitent plusieurs machines. Un autre avantage est relatif à la protection de l’environnement. Les effets sonores sont réduits ainsi que la pollution. La facilité liée à l’entretien de ces roues après la granulation justifie aussi l’application de cette méthode.