Secuvad, la lutte contre la cyber fraude.
Val de Marne, Un homme se faisait livrer des colis, essentiellement des smartphones et des ordinateurs de très haut de gamme, en usurpant des références de cartes bancaires et des documents administratifs précédemment volés.
Les faits étaient passés inaperçus, jusqu’à l’intervention de SECUVAD.
Le mode opératoire était très élaboré puisqu’outre l’usurpation des moyens de paiement, l’aigrefin usurpait tout à la fois de multiples pièces justificatives d’identité et de domicile (Carte Nationale d’Identité, Passeport, Permis de Conduire et Factures de domiciliation), afin de déjouer tout éventuel contrôle.
L’auteur ne comptait toutefois pas sur l’expertise de la société Secuvad qui démasquait son entreprise frauduleuse, ce qui lui permettait de signaler ces escroqueries à l’autorité judicaire.
Les services spécialisés de la Police du Val de Marne conduisaient les investigations de flagrance, qui lui permettaient après plusieurs jours de surveillance d’identifier, d’interpeller et de mettre en cause M. Y.K. concernant des faits d’escroqueries et de recel d’escroqueries.
L’enquête de flagrant délit permettait de mettre à jour un comportement habituel de ce genre de malversations, au préjudice des cybercommerçants, et portant sur plusieurs milliers d’euros d’escroquerie, ce qui devait conduire à la comparution immédiate du mis en cause devant le Tribunal de Grande Instance de Créteil, afin qu’il y soit jugé en répression des délits commis.
Une sanction judiciaire ayant valeur d’avertissement et … d’exemple !
S’il est habituel, ou encore trop commun, d’entendre ou de lire, que certaines décisions de justice peuvent apparaître trop permissives, force est de constater que la décision retenue par le Tribunal de Grande Instance de Créteil à l’encontre de M. Y.K., jugé en état de récidive, portant sur une condamnation à 6 six mois d’emprisonnement, assorti de la délivrance d’un mandat de dépôt à l’audience, est de nature à délivrer un sérieux «avertissement», de manière à dissuader le renouvellement de ces agissements, fortement dommageables à l’économie numérique.
Bien plus, SECUVAD au nom de sa cliente, obtenait €.550,00 de dommages et intérêts, en réparation du préjudice moral, en l’absence de préjudice matériel, puisque les biens acquis frauduleusement ont été immédiatement restitués, en état neuf, par l’autorité judiciaire au cybercommerçant.
Désormais, et face à la massification de ces méfaits, la seule prévention ne suffit plus, et pour se prémunir des préjudices financiers et de l’atteinte à leur système d’informatique qui les accompagnent, les cyber-commerçants sont bien obligés de poursuivre judiciairement leurs auteurs, ou bien de faire appel aux grands réseaux d’experts judiciaires de secuvad qui prennent en charge le traitement des dossiers.